Qu'elle m'énerve ! - Chanson comique sur les mères et la technologie
Une adaptation hilarante de la chanson culte des années 70 "Qu'i m'énerv'" de Patrick Topaloff, cette fois racontant le calvaire d'un enfant face à sa mère et son nouveau téléphone !
Dans la pure tradition des chansons humoristiques françaises, cette parodie capture parfaitement l'exaspération croissante lorsqu'on doit devenir le support technique de ses parents. Entre les comptes Google, WhatsApp qui ne marche pas, et les contacts de "personnes mortes" à supprimer, vous vous reconnaîtrez forcément !
Reprenant le style inimitable de Topaloff avec une voix théâtrale, des refrains entraînants au piano honky-tonk et cette livraison mi-parlée mi-chantée si caractéristique, cette adaptation est un hommage affectueux aux classiques de l'humour français des années 70.
Une chanson qui résonnera avec tous ceux qui ont déjà dû expliquer pour la énième fois à leurs parents comment fonctionne un smartphone !
#HumourFrançais #ParodieMusicale #MèresEtTechnologie #ChansonsComiques #AnnéesVingt #PatrickTopaloff
Ma mère et son téléphone ! Quelle tragédie burlesque, quel drame quotidien joué sur la scène de mon salon ! La voilà, nouvelle propriétaire d'un appareil diabolique, rectangle lumineux porteur de calamités innombrables. Béni soit l'aide familiale qui, tel Saint Michel terrassant le dragon, a dompté le compte Google.
Mais que reste-t-il au fils dévoué ? L'installation des applications diaboliques, ces Whatsapp et Facebook, ces Messenger qui me narguent ! Et ce Zuckerberg, grand seigneur des mots de passe, tyran des connexions, qui me force à la valse des codes secrets. Je cours entre deux mondes, le smartphone ancien et le nouveau, comme Orphée entre la vie et la mort.
Croyais-je connaître le repos ? Illusion ! Fantasmagorie ! "Je peux t'appeler ?" me demande-t-elle avec l'innocence d'un enfant découvrant la lune. "C'est quoi ce bruit ? Ça marche pas !" proclame-t-elle avec l'autorité d'un Louis XIV des télécommunications.
Elle pointe son doigt accusateur sur l'écran : "Je veux supprimer ce contact. Cette personne est morte, tu peux la supprimer." La voilà qui ordonne la disparition numérique des trépassés ! "Celui-là, je veux plus le voir, mais je le retrouve plus." Les absents, comme les morts, n'ont-ils pas droit au silence électronique ?
La moutarde des télécoms monte à mon nez délicat ! Je rêve de fuites glorieuses, d'évasions spectaculaires. Elle m'irrite comme un cilice moderne. Au secours ! Des envies d'homicide fleurissent dans mon âme pourtant charitable !
Même ce qu'elle maîtrisait, elle ne maîtrise plus. Ô cruauté du temps qui efface les savoirs ! "Tu veux m'envoyer un message ?" me demande-t-elle, comme si j'étais le grand Oracle de Delphes.
"Je vois pas", proclame-t-elle. "Je vois rien", affirme-t-elle. "J'sais pas", conclut-elle, en philosophe nihiliste de l'ère numérique. Et moi, fils Sisyphe, je reprends mon rocher technologique pour le pousser encore et toujours.
Cette œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
AI Website Creator